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Industrie automobile : les taux d’intégration ne seront pas revus

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Le ministre de l’Industrie, Ferhat Ait Ali Braham, s’est à nouveau exprimé, ce samedi 9 janvier 2021, le dossier de l’industrie automobile en Algérie.

Intervenant lors du forum du journal Echaab, Ferhat Ait Ali a indiqué que les conditions fixées dans le nouveau cahier de charges sur l’industrie automobile notamment un taux d’intégration minimum de départ de 30% ne seront pas revues à la baisse, précisant que ces dispositions ne constituent pas des conditions « insurmontables », a rapporté l’agence officielle APS.

Le ministre de l’Industrie a souligné : « Dans un passé récent, les véhicules vendus par des assembleurs locaux étaient plus chers qu’avant l’application des incitations fiscales. De plus, l’Etat n’a pas bénéficié de cette politique de soutien ».    

Les industriels du secteur automobile déjà établis en Algérie qui ne peuvent pas respecter les taux d’intégration fixés dans le cahier de charge peuvent poursuivre leurs activités à condition de s’acquitter des taxes douanières, a-t-il expliqué.

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