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Lotfi Nezzar réagit à l’information de saisie des biens de sa famille

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Lotfi Nezzar, fils de l’ancien ministre de la défense nationale, le général à la retraite, Khaled Nezzar, a réagi, jeudi, à l’information portant sur la mise sous séquestre des biens de sa famille.

Dans une mise au point adressée au quotidien Liberté, Lotfi Nezzar a démenti l’information de saisie des biens de sa famille.

Le fils de Khaled Nezzar a souligné que l’article publié par Liberté « comporte des passages inexacts, formulés à partir d’informations infondées qui me mettent en cause personnellement, portent atteinte à la considération de ma famille et confondent des éléments des sociétés Divona et SLC de sorte qu’elles tendent à tromper vos lecteurs et, plus généralement, l’opinion publique. (…) ».

« Votre article entretient sciemment la confusion entre la personne de Khaled Nezzar et la société Smart Link Communication (SLC) qui est une entité distincte. (…) », a précisé Lotfi Nezzar.

Selon lui, « la société Smart Link Communication qui revêt la forme d’une société par actions, les poursuites pénales dont elle fait l’objet sont consécutives au procès politique engagé contre son principal actionnaire. (…) Autre contre-vérité relevée dans votre article, les sociétés qui auraient été “dissoutes”. Or, il n’en est rien ».

« (…). Ni les biens de la famille Nezzar ni ceux des sociétés n’ont été mis sous séquestre. (…). Le rédacteur de l’article confond entre la mesure de gel des comptes de ces sociétés — qui a été ordonnée dans la cadre de l’enquête préliminaire dont elles font l’objet — et une mise sous séquestre qui n’a pas lieu d’être », a-t-il expliqué. « Le gel des comptes n’est qu’une mesure conservatoire prise en attendant l’aboutissement de l’instruction judiciaire (…) », a-t-il précisé.

Lotfi Nezzar a expliqué que le litige qui les oppose à l’ARPCE (ex-ARPT), plusieurs affaires judiciaires sont pendantes devant le tribunal administratif et le Conseil d’État qui a, d’ailleurs, ordonné plusieurs expertises aux fins de statuer sur la conformité du mode de calcul des redevances réclamées par cette autorité avec le cahier des charges qui réglemente l’activité.

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