AccueilActualitéContrôle commercial : le défaut d’hygiène, première infraction constatée

Contrôle commercial : le défaut d’hygiène, première infraction constatée

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Nous avons constaté qu’en 2018 le défaut d’hygiène reste la première infraction qui occupe 48,43% des 37.330 constations d’infractions effectuées. Le défaut d’étiquetage qui était la deuxième infraction occupe aujourd’hui l’avant dernière position, a déclaré ce jeudi M. Sami Koli, directeur de la qualité et de la consommation au ministère du Commerce, lors de son passage à la radio Algérienne.

Il a précisé que « 11.911 prélèvements ont été effectués et ces contrôles ont été réalisés par les 25 laboratoires du centre algérien du contrôle de la qualité et de l’emballage, ajoutant que .38.640 fermetures et de cessation d’activités ont été réalisées.

S’exprimant sur le cas de Texenna, M. Koli a indiqué que c’est est un accident de process, « ils n’ont pas bien contrôle un filtre », rappelant que  l’usine a été fermée temporairement A ce propos, M. Koli a souligné qu’aujourd’hui, il y a une campagne de dénigrement du produit algérien, parce que ces produits algériens de bonne qualité commencent à grignoter des part sur les marchés extérieurs, notamment sur le marché africain ».

M. Kolli a expliqué que ces mesures ont été prises après vérification du danger de ces produits sur la santé des consommateurs, conformément au décret 12/203 relatif à la sécurité des produits.

Il a tenu à démentir l’information diffusée par la direction de la santé et de la population (DSP) de Djelfa qui a alerté sur un danger de commercialisation de « produits contenant des additifs alimentaires cancérigènes », précisant que « les produits alimentaires sont suspendus à l’importation depuis une année  ils ne sont pas sur le marché ces additifs alimentaires sont autorisés à l’échelle internationale ».

Par ailleurs, il a souligné que « nous allons penser à une refonte de toute la procédure de contrôle notamment la mise sur le marché du produit par l’opérateur qui a la possibilité de se faire accompagner par les pouvoirs publics ».

M. Koli a indiqué que l’Algérie dispose aujourd’hui e 260 laboratoires prestataires de service il faut renforcer les sanctions par rapport à certaines infractions, telles que le défaut d’hygiène.

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