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PLF 2019 : un plafond d’autorisation de programmes neufs et réévalués, estimé à 2 601 662 286 000DA

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Les recettes, produits et revenus applicables aux dépenses définitives de l’Etat pour l’année 2019, sont évalués à 6 507 907 648 300 DA, selon le projet de loi de finances 2019, dont Algérie – Eco détient une copie.

Selon le même document, le coût des réévaluations du programme en cours et le coût des programmes neufs, pour l’année 2019, seront supportés, conformément à l’article 54, par le plafond d’autorisation de programme estimé à 2 601 662 286 000DA.

Dans le détail, les secteurs, de l’industrie, de l’Agriculture et hydraulique, le soutien aux services productifs, les infrastructures économiques et administratives, l’éducation, la formation, le soutien à l’habitat, les infrastructures culturelles, les PCD et divers, généreront des dépenses définitives de l’ordre de 1 901 567 286 000DA. Tandis que, le soutien à l’activité économique, le règlement des créances de l’Etat, la recapitalisation des banques et les dépenses imprévues s’élèveront à 700 095 000 DA.

 

Par ailleurs, le financement des charges définitives du budget général de l’Etat, sera supporté par un crédit alloué aux dépenses de fonctionnement à hauteur de 4 954 476 536 000 DA, tandis que les dépenses d’équipement seront financées par un crédit d’un montant 3 602 681 942 000 DA, selon le même document.

Contribution des organismes de sécurité aux budgets des secteurs sanitaires

Les dispositions du PLF 2019, énoncent la prise en charge  médicale des assurés sociaux et leurs ayants droit, par la couverture financière émanant de la contribution des organismes de sécurité sociale, évaluée à titre prévisionnel, à hauteur de 88 025 424 000 Da, et dont les modalités de mise œuvre seront fixées par voir réglementaire.

Dans ce sens, dans le cadre de la relation contractuelle liant la sécurité sociale et le ministère de la santé, les informations recueillis lors de la prise en charge des assurés sociaux, au niveau des établissements de santé publics, serviront de base pour la mise en œuvre de ce financement.

Dans ce sillage, les dépenses de prévention, de formation, de recherche médicale, et les soins prodigués aux démunis non assurés sociaux, demeureront à la charge du budget de l’Etat.

 

 

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