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L’Eco du jour : Une synthèse quotidienne des faits marquants de l’économie algérienne rapportés par la presse

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Convention algéro-belge dans le domaine du transport ferroviaire

Une nouvelle plateforme de coopération est en voie de se mettre en place entre la Société nationale de transport ferroviaire (Sntf) et la Société nationale des chemins de fer belges (Sncb), écrit la Tribune ce matin. Cette initiative résulte d’une convention-cadre de coopération conclue entre les deux sociétés publiques, ajoute le quotidien qui précise que la convention a été signée, lundi dernier à Bruxelles, par le directeur général de la Sntf, Yacine Bendjaballah, et le président du conseil d’administration de la Sncb, Claude Fontinoy, à l’occasion de la visite en Belgique, le 26 et 27 février dernier, du ministre des Travaux publics et des Transports, Boudjemaâ Talaï, à l’invitation du ministre belge de la Mobilité, François Bellot.
Selon le DG de la Sntf cité par l’APS, cette convention-cadre vise à renforcer les relations qu’entretiennes les deux sociétés pour le développement respectif. Pour M. Talaï, «la convention-cadre a pour objectif d’accroître l’efficacité de chaque entreprise et ses performances sur le marché». De son côté, le président de la Sncb a dit que la convention porte sur la possibilité de fournir des prestations de formation à la demande de la Sntf, ajoute la Tribune.

Véhicules : le quota d’importation « entre 40.000 et 50.000 unités en 2017 « 

Le quota d’importation des véhicules sur l’année 2017 devrait osciller entre 40.000 et 50.000 unités, a indiqué mardi à Alger le ministre de l’Habitat, de la ville et de l’urbanisme et ministre du Commerce par intérim, Abdelmadjid Tebboune, écrit le site web de la Radio algérienne.
« Il est probable que le nombre de voitures à importer en 2017 varierait entre 40.000 et 50.000 voitures », a déclaré le ministre à la presse en marge d’une visite d’inspection à la nouvelle ville de Sidi Abdallah.
Pour rappel, en 2016, le contingent quantitatif d’importation des véhicules a été fixé à 98.374 unités dans le cadre des licences d’importation.
Outre les voitures du constructeur Renault fabriquées localement depuis plus de deux années, l’année 2017 devrait voir l’entrée en production de plusieurs usines de montage de véhicules à l’instar de Hyundai et de Volkswagen, écrit radioalgerie.dz qui nous apprend qu’une réunion, présidée par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, aura lieu dans les prochains jours pour fixer les quotas d’importations des produits soumis au licences d’importation au titre de l’exercice 2017 (voitures, ciment, rond à béton….).
La facture d’importation des véhicules de tourisme s’est établie à 1,292 milliard de dollars en 2016 contre 2,038 milliards de dollars en 2015, soit une baisse de 36,61%, selon un bilan des Douanes.

Financement de 5 projets pilotes dans 5 secteurs « prioritaires » : La CAP en discussion avec trois banques la semaine prochaine

Reporters nous apprend ce matin que la Confédération algérienne du patronat (CAP) va proposer, la semaine prochaine, cinq projets « pilotes » dans cinq secteurs « prioritaires » à trois banques pour discuter des possibilités de financement et déterminer les mécanismes appropriés selon son président, Boualem Mrakech, lors d’une conférence de presse animée en son siège à la veille de la 20e tripartite, prévue le 6 mars.
Ces cinq projets, poursuit Reporters, un par secteur identifié dans le cadre d’une étude réalisée par ce patronat, en collaboration avec le bureau multinational HPC (allemand, français et américain) sous la direction du Docteur Frank P. M. Karg, serviront de base de travail pour tous les autres à l’avenir. Le travail d’étude, portant sur une « stratégie claire et visible du développement économique durable pour les quinze prochaines années », a duré six mois, selon M. Mrakech. Il en ressort cinq secteurs considérés « prioritaires », à savoir le tourisme, les énergies renouvelables et les industries propres et productives, les activités minières, la santé et l’agriculture et, enfin, l’Education nationale et la formation professionnelle, a-t-il énuméré par groupe de secteurs liés.

Trump veut 1.000 milliards pour les infrastructures

Le président américain Donald Trump a promis hier de consacrer mille milliards de dollars d’investissements publics et privés pour remettre à niveau les infrastructures américaines mais s’est montré avare de détails sur sa politique économique, écrit le Wall Street Journal.
« Pour lancer la reconstruction du pays, je vais demander au Congrès d’approuver une législation qui déclenchera des investissements de mille milliards de dollars pour les infrastructures aux Etats-Unis, financés grâce à des capitaux à la fois publics et privés, et créera des millions d’emplois », a-t-il déclaré lors de son discours de politique générale devant le Congrès.
« L’Amérique a dépensé environ six mille milliards de dollars au Moyen-Orient alors que les infrastructures chez nous se délitent. Avec ces six mille milliards de dollars nous aurions pu reconstruire notre pays deux fois, et même trois fois si nous avions eu des dirigeants qui avaient la capacité de négocier », a-t-il ajouté.
Le WSJ rappelle que M. Trump a également de nouveau promis, mais sans donner de détails, une réforme fiscale « historique » qui « réduira le montant des impôts de nos entreprises pour qu’elles puissent concurrencer n’importe qui et prospérer n’importe où » et qui profitera également à la classe moyenne.

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