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Agression sioniste contre Ghaza : plus de 20.000 martyrs

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L’agression sioniste contre Ghaza a fait plus de 20.000 martyrs, dont au moins 8.000 enfants et 6.200 femmes, a rapporté mercredi l’agence de presse palestinienne Wafa.

Depuis le 7 octobre, les opérations militaires sionistes avaient fait plus de 20.000 morts à Ghaza depuis le début de l’agression, dont au moins 8.000 enfants et 6.200 femmes, a indiqué Wafa.

En dépit des multiples appels à épargner les civils, les frappes sionistes meurtrières se poursuivent sur la bande de Ghaza, de même que les combats au sol, alors que la moitié de la population civile souffre de faim extrême ou sévère, selon l’ONU.

Après une trêve de sept jours qui a pris fin le 1er décembre, les pressions internationales se sont multipliées pour obtenir une nouvelle pause, qui permettrait la libération de plus d’otages et l’entrée d’une aide internationale accrue dans le petit territoire en proie à un désastre humanitaire, soumis à un siège total par l’entité sioniste depuis le 9 octobre.

La première trêve a permis la libération de 105 otages et de 240 Palestiniens incarcérés dans des prisons sionistes.

Mercredi, des frappes sionistes à Rafah et Khan Younès, dans le sud, Deir el-Balah, dans le centre, et dans la ville de Ghaza, qui ont fait au moins 11 morts.

Dans la bande de Ghaza, l’agression a provoqué d’immenses destructions, la plupart des hôpitaux sont hors service et 1,9 million de personnes, soit 85% de la population, selon l’ONU, ont fui leur foyer.

Selon le Bureau de coordination des affaires humanitaires de l’ONU (Ocha), la moitié de la population de Ghaza souffre de faim extrême ou sévère, et 90% est régulièrement privée de nourriture pendant une journée entière.

« Sans l’eau potable, la nourriture et les installations sanitaires que seul un cessez-le-feu humanitaire peut apporter, les décès d’enfants dus à la maladie pourraient dépasser ceux qui ont été tués dans les bombardements », a averti l’Unicef.

Le Conseil de sécurité de l’ONU a encore une fois mercredi reporté au lendemain un vote sur une résolution destinée à améliorer la situation humanitaire catastrophique à Ghaza, après plusieurs jours de négociations visant à éviter un nouveau veto des Etats-Unis, opposés à un cessez-le-feu.

APS

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