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40.000 voitures «Fiat» seront importées d’ici la fin de l’année en cours

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40.000 voitures « Fiat » seront importées d’ici la fin de l’année en cours, en plus des 35.000 véhicules de la même marque qui ont été importés, et 10.000 voitures « JAC » seront également importées, a indiqué ce jeudi à Alger, le ministre de l’Industrie et de la production Pharmacie, Ali Aoun.

L’usine Fiat produira sa première voiture en décembre 2023. Avec l’entrée de projets de production automobile locale pour diverses marques qui ont reçu l’approbation dans la phase de production en 2024, ainsi que le début de l’activité des concessionnaires automobiles, le marché connaîtra une augmentation de l’offre qui atténuera encore la pression actuelle.

Le ministre a souligné que le ministère de l’Industrie et de la Production pharmaceutique « œuvre à la création d’une véritable industrie nationale de l’automobile et au développement de cette filière à travers de véritables projets industriels », notant que le projet d’usine Fiat à Oran fait « des progrès considérables », selon le ministre.

24 concessionnaires ont obtenu une autorisation d’importation

Le nombre de concessionnaires ayant obtenu l’agrément pour exercer l’activité d’importation de véhicules neufs a atteint 27 , dont 24 ont obtenu une autorisation réglementaire d’importation,

Le ministre Aoun a expliqué que les 24 concessionnaires ayant obtenu une licence réglementaire importeront 180.223 unités de voitures, vélos, camions, ainsi que des véhicules agricoles.

Il a ajouté que l’octroi des agréments pour exercer l’activité de concessionnaire de véhicules neufs venait « à soulager la pression dont est témoin le marché automobile en attendant la réalisation des projets qui ont obtenu l’agrément pour fabriquer des véhicules de différents types ».

Le montant alloué à l’importation de voitures est à 2,6 milliards de dollar

Le montant total alloué à l’importation de voitures jusqu’en décembre prochain est estimé à 2,6 milliards de dollars, dont 40% ont été effectivement consommés jusqu’à présent, a indiqué le ministre.

Toutefois, « il faut travailler à réduire la pression sur le marché automobile à travers une gestion prudente des fonds disponibles », selon M. Aoun.

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