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Automobile : 120 concessionnaires et constructeurs ont déposé des dossiers de demande d’agrément

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Le Directeur général du développement industriel au ministère de l’Industrie, Ahmed Salem Zaid, a fait savoir, ce mercredi, que « la plupart des constructeurs et concessionnaires intéressés par cette activité ont déposé leurs dossiers au niveau du ministère, où entre 110 et 120 demandes ont été recensées », prévoyant la réduction de ce nombre après étude.

Concernant l’importation de véhicules neufs, Ahmed Salem Zaid a également expliqué, sur les ondes de la radio chaîne 1, que « le cahier des charges oblige les concessionnaires à importer une seule marque de véhicules, par le biais d’un contrat les liant à un seul constructeur automobile pour éviter le monopole de l’activité de vente ».

Le même responsable a indiqué que « l’autorisation doit être obtenue directement auprès de du constructeur automobile d’origine dans le pays d’origine ».

S’agissant de la condition du moyen de paiement scriptural pour l’acquisition de véhicule à travers les circuits bancaires et financiers, le DGDI a précisé que « les concessionnaires exerçant une activité commerciale réglementée, peuvent bénéficier de la devise au taux de change de la banque, et ce pour préserver le pouvoir d’achat du citoyen ».

Le même responsable prévoit que le premier véhicule importé entrera sur le marché au cours du premier trimestre 2023.

S’agissant du domaine de la construction automobile en Algérie, M. Zaid a révélé qu’ « il existe de nombreuses marques intéressées à entrer sur le marché algérien, qui sont considérées comme prometteuses dans ce domaine ».

Il a ajouté: « Actuellement, l’identité de ces marques ne peut être révélée qu’après l’achèvement de la phase de négociation. »

Il a indiqué que les commissions techniques et les commissions de recours seront installées la semaine prochaine.

Évoquant le montage automobile, le même responsable a indiqué que le texte fixe en l’obligation d’atteindre, à compter de l’obtention de l’agrément, un taux d’intégration minimal de 10% au terme de la 2e année, à 20% au terme de la 3e année, à 30% au terme de la 5e année en vue de se lancer dans la construction.

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