AccueilénergieInvestissement dans l’énergie : Les partenaires de l’Algerie réaffirment leur optimisme

Investissement dans l’énergie : Les partenaires de l’Algerie réaffirment leur optimisme

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S’expriment lors des rencontres « Algeria Future Energy » organisées ce matin par la Sonatrach à Alger, les PDG de plusieurs importantes sociétés étrangères activant en Algérie, ont exprimé l’importance du potentiel d’investissement existant dans le pays, en affichant leur optimise à l’avenir sur le marché algérien.

Le PDG de la société italienne ENI Claudio Descalzi, a signalé lors de la table ronde sur la stratégie globale des hydrocarbures en Algérie, qu’il existe une possibilité de diversifier les ressources énergétiques en Algerie, « le mixte énergétique est très possible dans le pays » a-t-il indiqué.

Sur l’évolution du climat des affaire dans le secteur de l’énergie, le PDG de ENI a indiqué que certes que le pays entreprend des reformes afin d’attirer des investisseurs importants dans l’énergie et devenir un marché compétitif, Le même cas est aussi pour les entreprises qui essayent de présenter  le plus important des offres pour acquérir ces marchés ».

Selon lui, le récent changement en termes de stratégies envers le secteur de l’énergie exprime la volonté des responsables fin d’aller en avant. Descalzi a souligné que « le potentiel d’exploration est très important en Algerie et cela pourra attirer des grandes entreprises » dans le monde. Et « je suis optimiste sur le futur des investissements en Algerie » a-t-il conclu.

Pour le PDG de la société françaiseTotal, Patrick Pouyanné, la diversificationénergétique en Algerie est sur la bonne voie, avec le grand programme des énergies renouvelables et les investissements dans l’offshore. Selon lui le climat a beaucoup évolué dans le pays et cela permet facilement de lancer plusieurs projets.

Toutefois, il a fait savoir qu’il est important de travailler sur tous les niveaux d’investissements dans les projets réalisés en Algerie, et toucher à tous les axes. Dans ce sens, la plus vielle société d’hydrocarbure en Algerie, a souligné que ses investissements sont sur tous les niveaux dans le gaz, le pétrole, et la pétrochimie.

Pouyanné a estimé que les matières premières existantes en Algerie, permettent de lancer des investissements dans plusieurs secteurs, en pétrochimie et lubrifiants. Notre savoir-faire dans la distribution, dans le marché africain, nous permet d’atteindre plusieurs marchés africains.

Le PDG de Repsol, (société espagnole)Juso Jon Imaz a souligné de sa part que l’Algerie est bien placée sur le marché du gaz, sur lequel elle doit beaucoup investir, car il constitue aussi une énergiede la future. Certes que les énergies renouvelables ont de l’avenir en Algerie, mais « la production du gaz doit être protagoniste en Algerie».  Jon Imaz a rappelé que 50% du gaz consommé en Espagne provient d’Algérie, et que son entreprise existe en Algerie depuis 35 ans.

Son compatriote, le PDG de la société, CEPSA, Pedro Miro Roig, a indiqué que l’Algerie est très importante pour nos investissements ou nous sommes présents depuis 30 ans, et nous avons développé une confiance avec nos partenaires. « Nous avons diversifié nos partenariats dans le domaine de pétrole et du gaz et nous connaissonsparfaitement la place de l’Algerie dans la fourniture du gaz vers l’Europe et cela même dans les années dure de pays ».

Ainsi, avec la prochaine révision de la loi sur les hydrocarbures, les investisseurs commencent déjà à reprendre confiance et affichent leurs optimises pour le marché algérien.

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