Accueilla deuxAid El Adha : Ouyahia "l’État poursuivra sa politique de soutien des prix"

Aid El Adha : Ouyahia « l’État poursuivra sa politique de soutien des prix »

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Le secrétaire général du Rassemblement national démocratique, Ahmed Ouyahia,  a declaré en marge d’une réunion avec le parti TAJ de AmarGhoul, que l’Etat maintient son contrôle sur les  marchés.

En réponse à une question sur la récente hausse des prix de la viande blanche, le Secrétaire général de  du RND a déclaré que cela était principalement dû à l’offre et à la demande.

Selon lui, la consommation de viande blanche est due à plusieurs facteurs, ce qui vous donne une marge pour augmenter les prix.

Par ailleurs, en ce qui concerne la prochaine manifestation religieuse liée à l’Aïd al-Adha, Ouyahia a déclaré que l’État apportait son soutien pour éviter la spéculation sur les marchés

A noté que dans le même sens, le ministère de l’agriculture, du développement rural et de la pêche étudie la possibilité d’appliquer l’exemption de la TVA sur le maïs  utilisé dans l’aliment de la volaille. Selon un communiqué du ministère, Kamal Shadi, secrétaire général du ministère de l’Agriculture, a présidé une réunion avec des membres du Bureau du Conseil national de la profession de la volaille.

A cet effet, de nombreuses questions liées à la mise en œuvre de l’exonération de la TVA sur le maïs ont été discutées, ainsi que des aspects liés à l’organisation de divers liens dans le secteur de la volaille et au bon fonctionnement des filières de l’enseignement technique.

Le contrôle de la division avicole et son impact sur la réduction des prix du marché ont également été discutés.En plus de développer des mécanismes pour assurer la disponibilité du produit.

Par ailleurs, à la veille de la fête de l’Aid El Adha, les prix du mouton s’envolent sous l’effet de la spéculation et de la  main mise sur le marché que tentent d’appliquer les intermédiaires.

La guerre du mouton fait rage. Entre les intermédiaires, les vendeurs de bétails, et les  autorités concernées, rien ne va plus. Les intermédiaires tentent de s’approprier le marché, en mettant des bâtons dans les roues des vendeurs. De son coté le ministère de l’agriculture essaie tant bien que mal de réguler le marché, et soutenir  les petites bourses

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