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L’ALC forme des examinateurs en TOEIC pour réduire les pertes des bourses d’études faute de maitrise de l’anglais

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« Une convention sera signée, ce lundi, entre l’Université Mentouri de Constantine et l’Algérian Learning Center (Alc), comportant un cycle de formation au profit des diplômés et des enseignants, dans le cadre du Test of English For International Communication (Toeic), un outil de mesure de la capacité du candidat à travailler dans un monde professionnel anglophone », apprend-on de la part de Chaieb Hasene, directeur de cet établissement de formation en langues (anglais), mais aussi, depuis quelques temps, en communication, management, et formation digitale.

Rencontré lors du Salon Talents&Emploi, Chaieb a tenu à préciser que, « cette convention a été précédé, ce jeudi, par une autre avec l’Université des sciences technologiques et humaines de Bab-Ezzouar (Usthb), soit un total de 10 pôles du savoir, avec qui nous sommes liés par ce programme, deux ans après son lancement. », et de nous détailler, « il s’agit de l’Ecole polytechnique d’El Harrach, la pionnière, l’Ecole des hautes études commerciales de Kolea (regroupant 4 universités), la Fac centrale Alger II, les universités de Biskra, El Oued, Blida (Soumaa), Tlemcen, Oran, et Mostaganem ». 

A ce sujet, il a indiqué, « Il nous restera les universités de Sétif, Béjaia et Tizi Ouzou, pour cibler toutes celles qui ont formulé le besoin de formation en TOEIC».

Doter les universités d’un Centre d’examen international

Tel est l’objectif de la formation en TOEIC, « un outil de formation de l’Educational Testing Service (ETSs), un établissement à but non lucratif, présent dans 180 pays, et qui dédie ses recettes à la recherche, au profit de 250 chercheurs et doctorants en éducation et certification. », a ajouté Mr Chaib.

En poursuivant qu’à « l’issue des cycles de formations, à prix très préférentiel, dispensées chez nous ou chez elles, les universités seront dotés d’un Centre d’examen international, suite à un cursus au profit des examinateurs, comprenant des cours en présentiel, e-learning et blended learning ».

« l’objectif global des ces formations, tient-il à insister, est de mettre un terme aux pertes des bourses d’études, qu’a subies durant des années l’Université algérienne, faute de maitrise de la langue anglaise ». 

Pour ce faire, l’ALC compte sur l’apport de ses formateurs algériens dont quelques-uns revenus du Golfe, mais aussi des Américains et des Anglais.

A signaler que l’ALC existe depuis 1995, basé au niveau de l’ancien siège du Centre culturel américain, à Hydra. Développant graduellement des outils qui répondent aux standards mondiaux, dont le Test of English as a Foreign Language (TOEFL), l’établissement serait devenue une référence auprès des étudiants, mais aussi des chefs d’entreprises et tous ceux désireux de se familiariser avec la langue de Shakespeare, en atteignant « 2000 de formés par an », selon notre intrelocuteur.  

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