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L’Eco du jour: Une synthèse quotidienne des faits marquants de l’économie algérienne rapportés par la presse

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Révolution numérique  dans le monde : les métiers les plus menacés

Robotique, intelligence artificielle, Internet des objets ou encore Big Data : le Conseil d’orientation pour l’emploi (COE) se jette à son tour dans le difficile exercice consistant à évaluer l’impact de ces technologies très en vogue sur le marché du travail. Combien de destructions d’emplois ? D’emplois maintenus mais dont le contenu va évoluer ? Quels sont les métiers promis à disparaître ou à muter ? S’interroge ce matin les Echos.

A ces questions, le COE, organisme français de réflexion placé sous l’autorité du Premier ministre, répond de manière plutôt rassurante : moins de 10 % des emplois sont « exposés » parce qu’ils « cumulent de manière importante des caractéristiques qui les rendent vulnérables ». Comme l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) auparavant, qui arrivait au chiffre de 9 %, le COE écarte donc le scénario noir qui verrait des hordes de robots ou de logiciels balayer les humains sur leur lieu de travail. « Seule une faible part des emplois a un indice d’automatisation élevé », résume les Echos, même si ces « moins de 10 % » représentent tout de même 1,49 million d’emplois, là où une extrapolation du pourcentage de l’OCDE à la population active aboutit à 2,6 millions.

L’Algérie en tête des priorités de coopération de l’Indonésie

L’ambassadrice de la république d’Indonésie en Algérie Safira Machrusah a indiqué mercredi que son pays avait inscrit au titre des priorités de sa coopération pour l’année les pays d’Afrique et à leur tête, l’Algérie qui est son plus grand partenaire économique dans la région, écrit Algérie presse service dans une dépêche.

Mme Machrusah qui était reçue par le président de l’Assemblée populaire nationale (APN) Mohamed Larbi Ould Khelifa, dans le cadre d’une visite de courtoisie, a exprimé son souci d’encourager les relations de coopération entre les deux pays, rapporte un communiqué de l’APN. Pour sa part, rajoute l’APS, M. Ould Khelifa s’est dit satisfait du « bon » niveau des relations politiques qui unissent les deux pays se disant confiant que la coopération économique connaisse la même évolution d’autant plus, a-t-il soutenu, que les deux pays liés par une histoire commune possèdent les atouts qui favorisent la concrétisation de cet objectif.

Visa pour les étrangers : Un frein à l’essor du tourisme dans le Sud

Dans le meilleur des cas, l’obtention de ce document se fait au bout de trois à quatre mois quand ce n’est pas un refus catégorique que l’on oppose au demandeur, sans explication, lit-on sur Liberté ce matin.

“C’est un réel frein à l’essor du tourisme dans les régions du Sud. C’est à croire que cette partie du pays nécessite un traitement à part”, déplorent les professionnels des voyages, révélant une situation des plus chaotiques, notamment pour ce qui est de la délivrance des visas au niveau de nos consultants respectifs à l’étranger dont notamment ceux en France et en Allemagne.

Pas plus tard qu’hier, rapporte le quotidien, un groupe de voyagistes nous a saisis pour faire état d’incidents qui, a priori, peuvent paraître anecdotiques mais qui, au final, ne font que porter préjudice au tourisme algérien. “Dans certains consulats, on va jusqu’à déconseiller aux touristes de se rendre en Algérie”, s’indignent nos interlocuteurs qui nous assurent que “l’obtention du visa algérien, qui reste un des plus chers au monde, se fait au bout de trois à quatre mois dans le meilleur des cas quand ce n’est pas un refus catégorique sans explication”.  Cela n’arrange guère les choses poursuit Liberté, et dissuade plus d’un à plus forte raison qu’il existe parfois des périodes de promotion (billetterie – séjour) proposées par les tour-opérateurs ou alors des périodes de vacances avec lesquelles les touristes voudraient faire coïncider leurs séjours.

Soprovi, Renault et Volvo : début des travaux de construction de l’usine

Après la signature d’un pacte d’actionnaires, l’été dernier à Lyon (France), pour la création d’une entreprise commune, les groupes BSF Souakri et Renault Trucks ont procédé à la pose de la première pierre, inaugurant les travaux de l’usine d’assemblage de camions des marques du groupe Volvo, écrit El Watan ce matin.

Outre Abdenour Souakri (président du conseil d’administration de Soprovi), Bruno Blin (président de Renault Trucks SAS) et Jan Gurander, (vice-président et directeur financier du groupe Volvo), la cérémonie s’est déroulée en présence du wali de Blida, de Bernard Emié (ambassadeur de France en Algérie) et de Marie-Claire Sward Capra (ambassadrice de Suède en Algérie), rapporte le journal qui ajoute que cette usine de montage des camions Renault et Volvo située à Blida entrera en activité vers la fin de l’année avec la production d’une cinquantaine de véhicules, selon M. Souakri. «C’est toujours un moment fort et une prise de risque, mais une preuve de confiance pour l’avenir avec ce projet de qualité», déclare le président du conseil d’administration de Soprovi. Et de souligner : «Ce projet représente un investissement important ainsi qu’un transfert de compétences et de savoir-faire qui contribueront au développement d’un outil industriel compétitif en Algérie.»

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