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Les débats du FCE : Partenariat et formation avec la chambre algéro- allemande AHK, à l’ordre du jour

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La chambre de commerce algéro-allemande, AHK présente en Algérie depuis 10 ans, en partenariat continue, construit toute sa stratégie sur l’importance de la formation comme ultime moyen, d’améliorer la productivité et sauvegarder les emplois.  C’est en essentiel l’axe le plu débattu lors du workshop organisé, aujourd’hui, au sein du siège du FCE. Des approches adaptées au marché algérien, s’adressent aux entreprises qui souhaitent moderniser, et former leur personnel pour un meilleur résultat sur la qualité des produits. Plusieurs  formules de formation sont proposées et ciblent différentes catégories d’employés, et de formateurs.

Dans ce sens, la première expérience s’est penchée sur la formation de plâtriers plaquistes, par le biais d’un partenariat avec la société KNAUF Algérie. L’idée profonde et l’optique dans laquelle s’inscrit AHK, est sans conteste de créer un pont entre la théorie et la pratique en milieu entreprenariat. De ce fait, l’objectif est d’impacter les résultats des entreprises sur l’économie nationale.sur ce sillage, AHK propose ce système de formation, avec des options de suivi de création d’entreprise, de conseil et de pérennisation. A cet effet, il propose des formules qui peuvent prendre en charge des éléments issus soit du cycle moyen, secondaire ou universitaire, et se dresse fortement contre la dénigrement de la formation en absolu. Autrement dit, ce que propose AHK, est une revalorisation de la formation, pour qu’elle ne serve plus de substitut à l’enseignement, il s’agit précisément de la formation dualiste.

 Cette dernière se base sur la revalorisation des métiers considérés aujourd’hui comme dégradants par les jeunes, puisqu’il n’y trouve aucune attractivité. A cet effet, AHK table sur trois paramètres essentiels, la pédagogie, la méthodologie, et la psychologie dans la formation. Ceci étant, le chemin demeure assez long et difficile, puisque l’intégration de ce système de formation dualiste est tributaire d’une volonté politique. Dans le sens, ou les institutions étatiques concernées, tel que le ministère de formation professionnelle, doit être foncièrement impliqué.

Au demeurant, l’expérience d’AHK arrive à sa phase terminal, qui se couronnera par la naissance du projet pilote Knauf, et le coup d’envoi de 12 missions de formation pour cette année, contre 16 tentatives durant l’année précédente

En somme, la relation AHK / FCE s’explique aisément par l’importance des deux réseaux et leurs déploiement. C’est précisément à ce niveau et à travers la présence du FCE sur le territoire national, et à l’extérieur, qu’un minutieux pour estimer les besoins de l’entreprise en matière de formation et de résultat de productivité.

 D’un autre coté, le deuxième axe de ce workshop, s’est penché sur l’activité d’exportation, sur le marché algérien et allemand. Dans ce sens, trois axes semblent se profiler, il s’agit de la recherche, de l’identification et des adresses de partenariat.  A cela s’ajoute, la promotion et le soutien des actions lancées. Actuellement, les chiffres indiquent, un niveau d’exportation entre les deux pays, qui s’élève à 94,54% d’hydrocarbures, 5,46% hors hydrocarbures.  Toute l’importance pour les deux pays, est de renverser cette tendance pour un rééquilibrage qui pourrait apporter à l’Algérie, un impact sur la sortir de dépendance des hydrocarbures, et pour les allemands il s’agira d’enrichir son tissu commerciale tel que l’agroalimentaire et le pharmaceutique.

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