Le même bilan fait ressortir que le montant global des transactions s’est inscrit à 1 396 245, soit une baisse de l’ordre de 90,58% par rapport au mois de juillet, où il a été observé une valeur transigée globale de 14 833 710 DA. En ce qui concerne le volume transigé global, il est passé de 15 698 (action) au mois de juillet à 2 705 au mois d’août, soit une baisse de l’ordre de 82,76%.
Pour rappel, l’activité du parquet de la bourse d’Alger, pour le mois de juillet, a enregistré une hausse par rapport au mois de juin où le montant global des transactions s’était inscrit à 14 833 710, soit une hausse de l’ordre de 82,31% par rapport au mois de juin, où il a été observé une valeur transigée globale de 8 136 750 DA.
Pour ce qui est du volume transigé global, il est passé de 9 173 (action) au mois de juin à 15 698 au mois de juillet, soit une hausse de l’ordre de 71,13%.
Notons que la bourse d’Alger a connu cette année une certaine dynamique avec l’introduction du laboratoire Biopharm et de la Société des ciments de Aïn-Kebira (SCAEK).
Par ailleurs, en 2013, le Conseil des participations de l’Etat (CPE) avait donné son aval à huit (8) entreprises publiques pour l’ouverture ou l’augmentation de leur capital social à travers la Bourse.
Il s’agit de trois cimenteries publiques relevant du groupe GICA dont celle d’Aïn Kbira, du Crédit populaire d’Algérie (CPA), de la compagnie d’assurance Caar, de Cosider Carrières (filiale du groupe public Cosider), de l’entreprise Hydro-aménagement et de l’opérateur historique de téléphonie mobile Mobilis, rappelle-t-on.
Dès l’entrée des sept entreprises publiques qui restent, la capitalisation de la Bourse d’Alger pourra atteindre l’équivalent de 10 milliards de dollars.
