Des grands groupes (Cevital, Condor, NCA Rouiba, Sonatrach…), des organisations professionnelles (l’Union nationale des industries de l’Agroalimentaires « Unida », Savoir et Vouloir entreprendre « Seve », le Club des entrepreneurs et industriels de la Mitidja « Ceimi »,…), des experts économiques (Alexandre Kateb, Abderrahmane Mebtoul, Yacine Belarbi…), ainsi des responsables politiques algériens et des représentants étrangers d’ambassades et de chambres de commerces des Etats-Unis, d’Autriche, d’Allemagne, de Russie, de France, du Mexique, du Vietnam, d’Espagne, de Tunisie, de Suisse, de Suède, de Pologne, du Japon …).
Telle est, en partie, le listing des participants au Forum de l’industrie algérienne (Fia), qui se tiendra du 27 au 29 mars 2017, au Centre international des conférences (Cic) Abdelatif-Rahal d’Ain Bénian (Alger), sous le thème « Des perspectives et du potentiel industriel ».
Le Forum comptera, selon le communiqué dont nous détenons une copie, quatre conférences-débats se tiendront les deux premières journées, à savoir, « perspectives, potentiel industriel, intelligence économique, et essor de l’industrie numérique ».
« Au menu également, est-il ajouté, une exposition dédiée à l’industrie nationale avec ses deux pôles, industrie des biens de production et industrie des biens de consommation, ainsi qu’une réunion regroupant les experts économiques algériens et une autre baptisée « Réunion au sommet », consacrée aux représentants économiques, notamment les grandes entreprises et les confédérations patronales ».
Les deux réunions, qui se dérouleront lors de la troisième et dernière journée, auront respectivement à « émettre des propositions concrètes aux acteurs privés et étatiques en vue d’essorer leurs sociétés respectives.», et à « contribuer à la convergence de vues pour l’établissement d’un plan d’action commun ».
Les objectifs du Forum sont contenus dans les sujets programmés au cours de ses trois jours, et ce, comme indiqué par notre source, « Le défi d’une Algérie exportatrice: le passage d’une industrie importatrice à une industrie exportatrice », « L’encouragement des partenariats public/privé (PPP): les dispositifs à mettre en œuvre pour encourager les partenariats nationaux », « Augmentation des compétences industrielles: faire profiter l’industrie Algérienne du transfert de technologie, mettre en adéquation le système universitaire avec les besoins de l’industrie », et « La politique du développement industriel: le rôle des TPE et les PME dans la planification économique de l’Algérie, la libération des perspectives et l’augmentation de l’attraction envers les capitaux étrangers ».
