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La valorisation des déchets industriels : Le Groupe Lafarge met les fours de ses cimenteries à contribution

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La valorisation des déchets dans les cimenteries, une opportunité que le groupe Lafarge offre comme un service mais surtout comme une action écologique et citoyenne. Une maitrise qu’elle met au service de l’activité industrielle, afin de valoriser autant que comestible ou matières premières, les différents types de déchets.

La baisse des émissions de CO2, la préservation des ressources naturelles non renouvelables, et l’élimination des résidus, c’est précisément cette solution locale que propose le groupe depuis des années. Sachant que les fours des cimenteries permettent  d’éliminer les déchets d’une façon ecologique, dans le respect total des normes environnementales, et sans générer de déchets à son tour, donc pas cendres, ni de mâchefer.

Présents à la première édition du salon de revalorisation et de récupération de déchets industriels, en cours à la Safex, Mme Friha directrice du département industrial ecology , nous explique que «  Ce salon représente l’occasion pour faire connaitre ces nouveaux concepts de valorisation de déchets dans les fours des cimenteries, un concept très connu en Europe. E n ce qui nous concerne, il est très important de montrer notre démarche environnementale, concitoyenne, au service de la communauté. Par ailleurs, il y’a une motivation économiques, qui s’avère limitée du fait que les couts de l’énergie ne sont pas très important pour l’heure, mais peuvent le devenir, donc pour Lafarge, c’est se placer en avant-garde qui importe ». En outre, Mme Friha précise que cela ne fait qu’une année que ce procédé est utilisé en Algérie, « Nous avons reçu tous les encouragements de la part du ministère de l’environnement, et nous avons commencé par la revalorisation des déchets  pharmaceutique, auprès et ce avec le syndicat nationale des pharmaciens des officines, à travers un contrat de performance environnemental, cela se fait dans un cadre purement écologique, et maintenant nous ambitionnons de passer  à une échelle industrielle de revalorisation de déchets, pour contribuer à juguler ne serait ce qu’une partie la problématique des déchets en Algérie» précise-t-elle.

 En somme, le groupe Lafarge ajoute une autre corde à son arc, et manifeste ouvertement sa position de leader dans l’amélioration de la construction mais pas que, puisqu’avec cette filiale exclusivement écologique, il se présente également comme un acteur actif de l’essor économique. Du fait que ses activités d’écologie industrielles sont étroitement liées au tissu économiques, et par voie de conséquences, ne peuvent se passer d’avoir des retombées autant sur le plan économique, que sur le plan environnemental et social.

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